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 Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous.

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Austin Baratheon

Austin Baratheon
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MessageSujet: Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous.   Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous. EmptyVen 4 Déc - 0:53





Austin Ethan Baratheon
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▲ ID card
Nom(s) et prénom(s)  ›› Je réponds au doux nom d'Austin Ethan Baratheon. Naturellement, très peu de personnes connaissent mon second prénom, les gens se contente simplement du premier. Parfois, ils se tapent un délire et m'appelle juste Baratheon. Pourquoi pas ! Mais je ne suis, hélas, pas un roi.Date et lieu de naissance ›› Je suis né le 24 avril 1985, à Leesville. Tout ce que je peux dire sur ma naissance, c'est que je n'étais pas tout seul. Âge ›› 33 ans seulement. Je suis encore jeune et plein de vie. Nationalité et origines ›› Mes arrières-grands-parents sont nés sur le sol américain, mes grands-parents sont nés sur le sol américain, mes parents sont nés sur le sol américain et je suis également né sur le sol américain. Sauf erreur de ma part, il semblerait que je sois américain.  Statut civil ›› Célibataire. Occupation(s) ›› Au chômage, ça compte ? Disons que je viens de revenir, alors il me faudra un peu de temps avant de pouvoir prendre mes marques et trouver un travail. Et aussi un logement, éventuellement. Sinon, je passe mon temps à faire du sport et respirer pour ne pas mourir. Situation financière ›› Ce n'est pas bien folichon. Je vis sur mes économies, qui s'épuisent à vue d’œil. Traits de caractère ›› Poli, souriant, sportif, solitaire, alcoolique, tête en l'air, borné, peu bavard, mystérieux, amusant, loyal. Groupe ›› Golden Customers.

Avatar ›› Jensen Ackles, MY KING.  Coeur  Pseudo/prénom ›› Anaïs, endlessly epic. Âge ›› 20 ans. D'où tu viens ? ›› Vendééée ! Ce que tu fais dans la vie ? ›› Troisième année de langues, motherfucker !Fréquence de connexion ›› Everyday I'm shufflin ! Scénario ou personnage inventé ? ›› Personnage inventéééé. DC/MC ›› NOLAN.  Swag  Le mot de la fin ›› I wanna be the little spoooon !

▲ Get to know you
Je ne suis pas très copain avec les montres, les horloges et les pendules. D'une part parce que je ne suis absolument pas ponctuel et d'autre part parce que j'ai dû mal à lire l'heure si ce n'est pas digital. + Il y a certains bruits qui m’agacent plus que tout au monde. Les gens qui mangent des carottes ou des chips, c'est l'horreur pour moi. + Parce que j'ai des goûts musicaux et télévisuels un peu nuls, je tombe souvent dans le mal. Il n'est pas rare de m'entendre chanter la marmelade devant les Zinzins de l'espace. + Je mange tout le temps, parce que j'ai tout le temps faim. Je n'ai aucun plat préféré, je trouve ça trop réducteur et triste. Je mange tout. En revanche, je ne sais pas cuisiner. + Le dimanche, j'ai souvent l'air désespéré et abattu. Le dimanche, il n'y a rien à faire et tous les bars sont fermés. Donc c'est une triste très morne pour moi. Ce qui explique pourquoi je me retrouve échoué sur le canapé à regarder des dessins animés pourris. + Je suis un gaucher. Mais quand j'étais petit, ma grand-mère a essayé de me faire changer de main, alors je fais tout de la main droite. + Un jour, j'ai regardé Game of Thrones. Depuis, je suis persuadé d'être de sang royal. Si je le voulais vraiment, je pourrais réclamer le trône de fer. Je serai le roi le plus beau et le plus puissant du monde. + J'étais le conducteur de la voiture lorsque Maxwell et moi nous avons eu notre accident. Encore aujourd'hui, je suis incapable de dire ce qu'il s'est passé. Je garde sur la mort de mon frère jumeau sur la conscience, ainsi que le malheur de Nora et celui de toute ma famille. + Avant de partir à New-York, j'étais officier de police. J'ai tout quitté du jour au lendemain. A New-York, j'ai enchaîné les petits boulots : éboueur, barman, chauffeur de bus, et j'en passe. En l'espace de cinq ans, j'ai claqué toutes mes économies au point de me retrouver à la rue. C'est Maddie qui a payé mes dettes et elle continue encore de payer toutes mes dépenses. + Je suis l'être le plus superstitieux du monde. Je suis capable de m'enfuir en courant si je vois un chat noir et jamais de la vie je ne passerais sous une échelle. + J'ai lu un magazine douteux une fois qui disait que les poulets pouvaient avoir des dents. Depuis ce jour, je développe une très grosse phobie pour ces animaux démoniaques. + Quand je regarde la télé ou quand j'écoute la radio, le son doit toujours être réglé sur un chiffre pair. + Le type qui se balade constamment en boxer et en tongs au sein du Golden Palace, c'est moi.

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Austin Baratheon

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MessageSujet: Re: Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous.   Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous. EmptyVen 4 Déc - 0:54





What we play
is life.

Alors on en est là. On en arrive au point où l’alcool est la chose chose capable d’apaiser les maux. C’est désormais une certitude. Je suis un habitué ici. Les gens commencent à me connaître, les barmans aussi. Je suis le type qui arrive aux alentours de 19h00 le soir et qui ne repart que lorsqu’il est assez alcoolisé à son goût, presque en rampant. Déjà à 19h00, je suis loin d’être sobre. J’ai déjà pris le soin d’ingurgiter au minimum deux bières ; ce n’est pas grand-chose mais ça permet de se mettre dans l’ambiance plus rapidement. Comme tous les soirs, je m'installe sur l'un des tabourets défoncés et d'un signe de la main, je demande à être servi. Un whisky pur sans glaçon, c'est ma boisson de prédilection. Mon verre me tombe rapidement entre les mains, je savoure les premières gorgées avec lenteur, jouant distraitement avec mon verre. Le liquide brunâtre se meut contre les parois de verre, il tourbillonne et captive ainsi mon regard. Les premières secondes, je suis occupé à établir une longue liste de tout ce qui ne va pas. Ça fait des années que plus rien ne va. Des années que la colère et la culpabilité me rongent. Après avoir raviver la flamme de ces deux sentiments étroitement liés, je cherche à les éteindre, tout du moins à les apaiser. C'est là que je demande mon deuxième verre. Mais on ne peut pas éteindre un feu en jetant de l'alcool dessus. Pourtant j'enchaîne les verres jusqu'à ce que les flammes me consument entièrement, jusqu'à ce que je me sente anesthésié. C'est seulement à partir de ce moment que je me sens mieux. Je commence à me sociabiliser, à devenir chaleureux, voire même drôle. Dieu sait que les femmes aiment les hommes drôles... Je déballe mes plus belles blagues, je m'invente une vie, je plaisante avec tous ceux qui se sentent un peu seul. Il n'y a rien de plus simple et de plus parfait que ce bonheur éphémère. Je m'en contente, il me va. Je ne demande rien à personne. C'est mon quotidien, ma façon de noyer le trop-plein d'émotions. Je préfère être une épave plutôt qu'un dépressif. Car non, je ne suis pas dépressif. Il y a des jours avec, d'autres sans - mais j'ai bien compris que même les jours sans, il fallait faire avec. Alors il est où, le problème ? Le problème, c'est que l'alcool fait disparaître mes souvenirs, me plonge dans l'oubli et sans ça, oui, je pourrais devenir dépressif. À chacun son remède. Certains l'acceptent, d’autres non mais finalement leur avis m'importe peu. Il s'agit de ma façon de vivre et non de la leur. Alors comme tous les soirs, je me fais plaisir et je me livre corps et âme au whisky. Jusqu'à ce que le bar ferme ses portes et que je sois contraint de rentrer chez moi.

En titubant légèrement, le sourire aux lèvres, je glisse ma main dans la poche de mon jean pour en sortir mon trousseau de clés. Celui-ci tombe sur le sol, émettant presque une petite mélodie qui sonne étonnamment bien dans mon oreille. Je ramasse les clés et commence à chercher celle qui permet de déverrouiller ma voiture. Ma vue brouillée et le manque d'éclairage ne m'aident pas vraiment. Pourtant, j'y arrive. Tout seul, comme un grand. Maintenant, il faut encore que je retrouve ma voiture. Tout en me grattant la tête, je fais un rapide tour sur moi-même et repère le véhicule, de l'autre côté de la chaussée. Je m'avance vers le passage piétons et attends patiemment le feu vert pour que je puisse traverser. Chose qui ne tarde pas à arriver, d’ailleurs. Avant de m’élancer sur le passage piéton, je vérifie à droite et à gauche qu’aucune voiture n’arrive, puis je traverse. Une distance d’environ deux mètres me sépare de ma voiture, je presse le bouton de la clé et elle se déverrouille, comme par magie. Ce jeu de lumière orange me fascine… J’en viens à sourire comme un abruti. Je trouve ça tellement drôle que je la verrouille de nouveau, juste pour le plaisir de la voir s’illuminer tel un sapin de Noël. Et je déverrouille encore. Finalement, c’est un jeu. Bonjour, je m’appelle Austin Baratheon et j’ai cinq ans et demi. Nul besoin d’un Tardis pour remonter le temps, une bouteille de whisky est tout aussi efficace. « AUSTIN ! » Qui m’appelle ? Je pensais être seul dans cette rue. Ou bien j’étais tellement captiver par ma voiture que je n’ai pas prêté attention aux autres véhicules. « AUSTIN ! » Oui, oui… C’est moi, j’ai entendu. Je me retourne et me retrouve face à Madison. L’alcool m’a fait connaître un certain nombre d’effets indésirables mais les hallucinations, c’est une première. Madison n’est pas là. Ce n’est que le fruit de mon imagination. « JE M’EN FOUUUUUUUUS ! » Voilà, et je m’en vais comme un prince. « Lalalalalalalala lalalalala lalalalala ! » Ma chanson se réduit à un petit sifflotement joyeux, tandis que je cherche à déverrouiller ma voiture. Qui l’est déjà, mais comme je pensais l’avoir verrouillée, elle ne fait que clignoter sans comprendre ce que je lui demande. Lorsque je tente d’ouvrir la portière, elle me résiste. « SÉSAAAAME, OUVRE TOIIIII ! » Pour plus d’insistance, j’agresse la poignée de la porte. En réponse, une force invisible m’attrape par le bras. « Aaaaaah ! » Madison, le retour. « Austin, arrête ! C’est moi, c’est Madison ! » ET MON CUL C’EST DU POULET !? « Lâche-moi ! » La force dont je fais preuve suffit à la faire tomber sur le sol, me voilà de nouveau libre. « C’est impossible que ça soit toi. Je t’ai pas dit où j’allais et t’avais aucune chance de me retrouver. T’es juste… J’sais pas. Un p’tit lutin malveillant. » « Un petit lutin malveillant ? » Me demande-t-elle d’une voix sifflante, se relevant tant bien que mal. « Mais qu’est-ce que t’as bu, Austin ? » Je me gratte la tête en haussant les épaules. D’emblée, je lui répondrais simplement du whisky. Seulement il n’y avait pas que ça. Les verres se sont enchaînés et je ne me suis pas posé de questions, je les ai bus. « Des trucs. » Madison fronce les sourcils. Elle se rapproche un peu de moi et scrute mon visage. Serait-elle en train de chercher des réponses ? J’en ai bien peur. « Austin… J’peux pas te laisser rentrer chez toi comme ça. Donne-moi ton adresse et je te ramène. » « J’peux conduire ! » Un soupir d’exaspération s’échappe d’entre ses lèvres. « Non, tu peux pas ! » Mon ex petite-amie se lance dans une bataille acharnée pour récupérer mes clés de voiture. J’ai beau essayé de lui échapper, mon temps de réaction est légèrement ralenti. « Maintenant tu montes dans ma voiture. On verra pour la tienne demain. » Docile, je lui obéis. Même si je traîne des pieds et même si elle doit parfois me tirer par le bras, je finis par grimper dans sa voiture. La tête reposée contre l’appui-tête, je ferme les yeux et me laisse bercer par le trajet.

« Austin ? » Non, je ne suis pas là. Merci, au revoir. En signe de protestation, j’émets un long grognement de mécontentement avant d’enfouir ma tête dans l’oreiller. Le lit s’affaisse légèrement, on me secoue un peu plus fort. « Austin, réveille-toi. » Je redresse la tête, les yeux fermés. « Quoi ? » Ma tête est lourde, j’ai la bouche pâteuse et en fait, c’est comme si mon corps tout entier était passé sous un rouleau compresseur. Une habitude, désormais. « Tu te souviens d’hier soir ? » C’est une très bonne question, ça. Je ne suis même pas certain de savoir qui me parle, ni même où je me trouve. « Non ? Oui ? Je sais pas ? Je t’ai offert moult verres, et je t’ai embrassé moult fois ? Alors après on a décidé de partir et on a fait moult fois l’amour aussi ? » Ce n’est qu’une supposition. La plus plausible, à mon sens. En vérité, je n’ai absolument aucune idée de ce que j’ai pu boire, faire ou dire hier soir. Tout ce qui importe, c’est qu’il est encore beaucoup trop tôt pour que je me lève. Voilà. « Eh bah… Au moins je sais ce que tu as fait ces cinq dernières années. » Ces cinq dernières années ? Pourquoi ces cinq dernières années ? Je fronce les sourcils, daignant ouvrir un œil. La lumière m’aveugle mais après m’être frotté les yeux et après avoir fait un effort monstre pour que mes yeux s’habituent à cet éclairage extrêmement vif, je discerne très clairement la femme qui me parle. Madison. « Oh merde… C’est toi. » Je me redresse presque aussitôt dans le lit en position assise, dos au mur. En soulevant légèrement la couette, je constate que je suis encore vêtu de mon boxer. Ce qui veut dire que… Non. Je ne sais pas ce que ça veut dire. « C’est quoi ce bordel ? » Je jette rapidement un œil autour de moi pour découvrir les lieux. Je ne suis jamais venu ici, pourtant je connais Madison, je reconnais ses goûts. C’est probablement son appartement, peut-être même sa chambre. « T’habites à New-York ? Qu’est-ce que je fais là ? C’était toi la fille du bar de hier soir ? » L’alcool embrouille mon esprit, cette situation n’arrange rien. Je suis plongé dans l’incompréhension la plus totale et tout ce que je demande, ce sont des réponses. « Non, je ne suis pas la fille du bar d’hier soir et non, je n’habite pas non plus à New-York. On est chez ma sœur. J’avais des choses à faire ici, je pensais pas tomber sur toi hier soir. Tiens, prends ça. » Elle me tend un cachet accompagné de son célèbre verre d’eau. Je n’y touche pas, je me contente de scruter Maddie comme un crétin. « Okay… » Elle soupire, dépose le médicament et le verre sur la petite table à côté du lit, je suis ses gestes du regard. Y compris lorsqu’elle passe une main dans ses cheveux. « Pourquoi tu m’as pas dit que tu étais à New-York ? » « Parce que c’était pas utile. Alors quoi ? Tu m’as cherché ? » Une pointe de colère transperce ma voix. Si je suis parti comme un voleur, j’ai mes raisons. J’aurais aimé que Maddie l’accepte. Quand bien même je ne me sois pas embêté avec une lettre d’adieu ou je ne sais quelle autre connerie, le message était plutôt clair. Je suis parti de Leesville, j’ai volontairement ignoré les appels de mes proches et surtout ceux de Maddie. Parce que je ne voulais plus de cette vie. « Non, Austin ! Je t’ai pas cherché. Je suis tombée sur toi par hasard. » Moi qui pensais que New-York était une grande ville… J’aurais dû prévoir plus grand, encore. « Ecoute… Je ne sais pas pourquoi tu es parti sans rien dire, même si j’ai ma petite idée sur le sujet. Je ne sais pas non plus pourquoi tu t’obstines à rester ici mais je sais qu’il n’y a rien qui te retient à part les bars. Alors… Rentre à Leesville, s’il te plait. » Oh pitié… Il ne manque plus que les violons pour rendre cette scène pathétique à souhait. « C’est fini, Maddie. J’pensais que tu l’avais compris. » « Je l’ai compris. Je te demande pas de rentrer pour moi. Je te demande de rentrer pour ta famille. Pour ta sœur, tes parents et aussi pour Nora. » Je détourne le regard, Maddie cherche à le capter de nouveau. « Je me doutais bien que tu étais parti pour ça. T’as passé assez de temps ici. Il est temps que tu reviennes à Leesville. C’est pas ici que tu trouveras l’aide dont t’as besoin. Je te connais et je suis bien placée pour savoir que tu es têtu. Tu me connais aussi et tu sais que je le suis encore plus. Je te laisse pas vraiment le choix. Je rentre en fin de soirée et je t’emmène avec moi. » Je secoue la tête. « J’étais au volant le jour de l’accident. Je sais pas ce qu’il s’est passé et… J’en sais rien. J’ai perdu le contrôle. J’ai tué mon frère, Maddie. J’veux pas rentrer. » J’ai tué mon frère. Cette phrase résonne dans ma tête. Je l’ai dit d’un ton froid et distant, comme si ça n’avait plus aucune espèce d’importance. « On a pas toujours ce qu’on veut dans la vie. Tu dois rentrer, Austin. »

Cette chambre est bien belle, mais elle manque cruellement d’alcool. « Je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleure, je pleuuuuuuuure et je pleuuuuuuuure ! Oh oui je pleuuuuure ! » Je referme la porte du mini-bar d’un air majestueux et enfile un boxer. Sortir nu, c’est mal. On me l’a bien appris et j’ai bien retenu la leçon. Je quitte ma chambre en sifflotant, me dirigeant joyeusement vers les ascenseurs. Je croise quelques clients outrés par ma conduite, je les salue poliment. A la réception, il y a mon copain Adam. « Hola qué tal ? Qué si muy bonita ! Yé voudrais oune kleine bouteille de whisky please ! » J’affiche mon plus beau sourire. « Austin, Austin, Austin… Je t’ai déjà expliqué comment fonctionnait le téléphone. » Je hausse les épaules. C’est vrai. Mais je préfère quand même venir à la réception pour me sociabiliser un peu. Sinon, à part Maddie, je ne vois personne. Quasiment personne. Et c’est bien triste. « Retourne dans ta chambre mon poto ! Quelqu’un viendra t’apporter ça. Je te préviens, c’est la dernière aujourd’hui. » Je hoche la tête et m’en vais comme un prince. « DANKE BEAUCOUP AMIGOS ! »

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Sidonie Baratheon

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MessageSujet: Re: Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous.   Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous. EmptyVen 4 Déc - 17:26

Mon frèèèère ! Cutie pie Excited Excited Besties
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MessageSujet: Re: Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous.   Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous. EmptySam 5 Déc - 10:03

mouton mouton mouton mouton
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Juliet Matthews

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MessageSujet: Re: Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous.   Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous. EmptySam 5 Déc - 14:01

C'est pas du jeu de ne prendre que des beaux gosses Cutie pie 2 SAD
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Nora Rhodes

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MessageSujet: Re: Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous.   Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous. EmptySam 5 Déc - 16:34

Salut toi :) Cutie pie Héhé Kiki n°5
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Austin Baratheon

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MessageSujet: Re: Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous.   Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous. EmptySam 5 Déc - 23:31

Friedefruchtelie Friedefruchtelie Friedefruchtelie Friedefruchtelie
Amour sur vous mes libellules ! Coeur (et surtout sur Nora Mouhéhé )

Sonia, je vais même pas m'excuser pour ça ! MDR
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Juliet Matthews

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MessageSujet: Re: Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous.   Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous. EmptyDim 6 Déc - 19:05

Si tu devrais ! angry
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Hope Smith

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MessageSujet: Re: Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous.   Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous. EmptySam 12 Déc - 19:05

Moi je suis du même avis que Sonia. T'as pas le droit de prendre que des BG ! grumpy
ps : J'exige un méga bon lien tout de même ! Angel
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Austin Baratheon

Austin Baratheon
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MessageSujet: Re: Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous.   Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous. EmptyLun 14 Déc - 20:01

J'le vis super bien (a) No problemo pour le lien ma douce ! Héhé
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Sidonie Baratheon

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MessageSujet: Re: Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous.   Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous. EmptyLun 14 Déc - 22:50

JE TE VALIDE.

EDIT : " Il n'est pas rare de m'entendre chanter la marmelade devant les Zinzins de l'espace. " OMG T'AS PAS LE DROIT. Cry
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Austin Baratheon

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MessageSujet: Re: Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous.   Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous. EmptyMar 15 Déc - 10:05

Je te remercie ma douce Friedefruchtelie
Les 3/4 des habitudes sont celles de Cameron. DSL. Arrow
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MessageSujet: Re: Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous.   Austin + For him, the world no longer turns; there is no day or night, everything and everywhere are instantaneous. Empty

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